La formation « Gestes et Postures » pour… bien se tenir

La formation « Gestes et Postures », obligatoire dans certains cas, s’inscrit au cœur de la panoplie des mesures que doit mettre en œuvre l’employeur pour protéger la sécurité et la santé de ses salariés.

Le travail, ce n’est pas toujours la santé !

TMS, accidents du travail  

Loin de « Le travail, c’est la santé ! » que chantait malicieusement le regretté Henri Salvador, certaines activités professionnelles peuvent être source, à la longue, de l’apparition, de la persistance ou de l’aggravation de troubles sérieux. Parmi eux, les TMS (troubles musculosquelettiques), comptant pour plus de 85 % des maladies professionnelles, affectent articulations, muscles et tendons des membres supérieurs (épaule, coude, main) ainsi que du dos. S’y ajoutent les accidents du travail dont ceux liés aux manutentions manuelles représentent plus du tiers des accidents du travail avec arrêt.

Plusieurs facteurs des TMS ont été identifiés – des facteurs organisationnels (temps de récupération insuffisant, …), des facteurs psychosociaux (pression, manque d’autonomie, …), mais aussi des facteurs physiques tels que gestes répétitifs, travail statique, efforts excessifs, positions articulaires extrêmes, port de charges lourdes… Ces conditions de travail ont conduit les pouvoirs publics à intervenir, en particulier sur la question des manutentions manuelles et du port de charges.

La formation Gestes et Postures, au cœur de la prévention

Le code du travail a consacré à la prévention plusieurs de ses dispositions : ainsi, il encadre le port habituel de charges par manutention manuelle en le limitant à 105 kg pour les hommes (avec surveillance médicale à partir de 55 kg) et à 25 kg pour les femmes (40 kg avec l’aide d’une brouette). Cette disposition s’applique en l’absence de moyens appropriés, et notamment d’équipements mécaniques adaptés ou d’accessoires de préhension, qu’à titre préventif l’employeur doit mettre à disposition dans toute la mesure du possible.

Le code prévoit en outre qu’il est tenu de donner aux travailleurs concernés des informations précises sur le poids de la charge et sur ses caractéristiques (position de son centre de gravité ou de son côté le plus lourd), ainsi que sur les risques qu’ils encourent lorsque les activités ne sont pas exécutées d’une manière techniquement correcte, en tenant compte des facteurs individuels de risque.

Enfin, obligation est faite à l’employeur de faire bénéficier ses salariés d’une formation adéquate à la sécurité portant sur l’exécution des opérations de manutentions manuelles. Du fait de son contenu et du caractère essentiellement pratique qu’elle va avoir, la formation Gestes et Postures va être un outil décisif d’information et de prévention, allant même bien au-delà de la seule question du port de charges.

Au-delà de la simple obligation liée au code du travail, il s’agit aussi de bien comprendre les enjeux et le contexte de l’environnement professionnel, afin de rendre cette démarche la plus efficace possible. En amont de ces formations, il est important de réaliser une analyse préalable de positionnement pour centrer la prestation sur les spécificités de l’entreprise et de ses apprenants.

Pour « bien se tenir », adopter les bons Gestes et Postures

Une formation pour qui ?

Si la formation Gestes et Postures est formellement obligatoire pour l’employeur dans certains domaines d’activité liés à la manutention manuelle et au port de charge (code du travail) ou réalisés en entrepôts, magasins et parcs de stockage (cf. la recommandation R308 de la CNAMTS), sa nécessité découle plus largement de l’obligation générale faite à l’employeur d’évaluer et de prévenir les risques pour leur santé auxquels sont exposés les travailleurs. Il existe donc une multitude de situations qui justifient l’organisation d’une telle formation : la manutention mais aussi la prévention des TMS, les gestes répétitifs, les postures statiques prolongées, le travail sur écran, la conduite de véhicules, le travail en milieu de la petite enfance ou auprès des personnes âgées ou dépendantes, les métiers de l’entretien ou des aides à domicile, etc.

La formation ne demande aucun prérequis.

 Une formation pour quoi ?

La formation Gestes et Postures a un double objectif :

Sa première finalité est de faire prendre conscience aux salariés de façon pédagogique des risques qui les concernent sur les lieux de travail  – importance des TMS, des maladies  professionnelles et des accidents  –, leur donner des éléments de compréhension sur le corps humain, son fonctionnement et ses limites, et souligner la nécessaire prévention à mettre en œuvre dans une optique d’amélioration de la qualité de vie au travail, de réduction des accidents et maladies professionnelles et de meilleure performance. Sont également abordés de façon théorique les principes généraux des bons gestes et de l’ergonomie au travail.

Le second objectif, au regard des caractéristiques concrètes de leurs postes de travail, est d’enseigner aux salariés les bonnes pratiques à développer en matière de gestes et postures (identifier les mauvaises habitudes, apprendre les bons réflexes et les bons gestes, adapter son environnement et en accroître l’ergonomie, etc.).

Une formation « sur mesure »  

La formation Gestes et Postures qui sera proposée à l’entreprise aura donc une forte dimension « sur mesure » ; pour son second volet en particulier – les bonnes pratiques –, elle sera construite à partir d’un audit, une analyse préalable des risques propres à l’activité de l’entreprise ou de l’établissement et des conditions dans lesquelles elle s’exerce concrètement au niveau des postes de travail.

Cette démarche permettra ainsi d’offrir une formation collant aux problématiques existant sur le terrain et de passer rapidement à une mise en application directe.

La formation peut se dérouler dans l’entreprise ou dans un lieu extérieur représentatif de l’activité des apprenants.

Elle s’effectue de 0.5 jour à une journée, à l’issue de laquelle les salariés auront acquis des compétences théoriques et pratiques les mettant en mesure, à travers l’analyse d’une situation de travail, de proposer des actions de prévention et/ou d’amélioration de ses conditions d’exercice. 

Une attestation de fin de formation et un certificat de réalisation seront délivrés à chaque participant à l’intégralité de la formation, ainsi qu’un support pédagogique.

De même, un bilan à froid est souhaitable car il permettra l’employeur de comprendre et mesurer le « retour sur attentes » (ROE), à la fois au niveau des résultats mais également des process complets.

La formation Sauveteur Secouriste du Travail

La formation SST (Sauveteur Secouriste du Travail), une formation gagnant/gagnant pour l’entreprise et les salariés

La sécurité des salariés est une préoccupation de la règlementation du travail et la formation SST y occupe une place de choix tant son rôle est important et ses effets bénéfiques pour tous sur les lieux de travail.

Defibrillator

Une obligation pour l’entreprise mais pas seulement !

Une obligation…

Dans certaines situations, telles que la réalisation de travaux dangereux sur un site, dans un atelier ou sur un chantier employant vingt travailleurs au moins pendant plus de quinze jours, la formation SST constitue une obligation pour l’employeur. Un membre du personnel doit l’avoir suivie et être titulaire du certificat de SST : sa formationsera alors précieuse pour donner les premiers secours en cas d’urgence et accomplir les actions qui sauvent.

Si le code du travail parle d’un membre du personnel, la formation de plusieurs personnes en nombre adapté (selon les effectifs, les risques propres à l’entreprise, la nature des activités, les horaires, la répartition géographique des différents sites, etc.) est recommandée pour un dispositif efficace.

À noter que la formation SST est requise en outre pour l’obtention du certificat de qualification professionnelle indispensable à l’exercice de métiers de la sécurité (agents de prévention et de sécurité…), de même qu’elle est inscrite dans les programmes d’enseignement et les référentiels de diplômes professionnels (CAP, Bac professionnels, BTS).

…mais aussi une solution pour l’employeur

En dehors des cas où elle est obligatoire, la formation SST fait partie des dispositifs permettant à l’employeur de répondre aux obligations générales fixées par le code du travail : celle de prendre les mesures nécessaires en vue d’assurer la sécurité et de protéger la santé physique et mentale de ses salariés, celle d’organiser les secours (en particulier en l’absence d’infirmiers dans l’entreprise ou lorsque leur nombre est insuffisant).

La formation de salariés comme sauveteurs secouristes du travail fera ainsi partie de l’arsenal des moyens à sa disposition pour faire face à ces situations. La mission qui sera la leur s’exercera dans le respect de l’organisation de l’entreprise et des procédures spécifiques fixées en son sein.

Combien faut-il former de SST au sein de mon entreprise ?

Selon l’Art R4242-15 du code du travail, « un membre du personnel reçoit la formation de secouriste nécessaire pour donner les premiers secours en cas d’urgence dans :

  • Chaque atelier où sont accomplis des travaux dangereux ;
  • Chaque chantier employant vingt travailleurs au moins pendant plus de quinze jours où sont réalisés des travaux dangereux. »

Conseillé par le médecin du travail, c’est l’employeur qui évalue le nombre de SST adapté à son entreprise, en fonction :

  • des effectifs,
  • des risques propres de l’entreprise,
  • de la nature des activités,
  • des horaires,
  • de la répartition géographique des différents sites de l’entreprise.

Une formation positive pour des salariés motivés par l’enjeu

N’exigeant pas de prérequis particulier, la formation SST s’adresse à tout salarié motivé par les questions de sécurité et désireux de savoir faire face à une situation d’urgence (accident du travail, malaise) et de contribuer à la mise en œuvre d’actions portant sur la prévention des risques professionnels. Au-delà du cadre professionnel, il peut en voir aussi l’intérêt dans sa vie privée (enfant qui s’étouffe…) ou sa vie sociale (savoir réagir…).

Poursuivant des objectifs complémentaires, à dimension à la fois préventive – prévenir les risques professionnels – et curative – porter les premiers secours –, la formation SST est source d’apports réels pour le salarié. En acquérant de nouvelles compétences techniques et un savoir-faire face à l’urgence, il bénéficiera d’un positionnement particulier au sein de l’entreprise en sa qualité d’acteur de la sécurité au travail, individuelle et collective.

La formation de SST, quelques heures pour devenir un acteur certifié de la sécurité au travail

Organisée sur 14 heures (formation initiale) ou 7 heures pour un MAC (Maintien et Actualisation des Compétences), la formation SST vise à apporter au salarié de nombreuses compétences dans les deux axes de sa future mission.

Le SST : une intervention efficace avant et dans l’urgence

Le sauveteur secouriste n’est pas à lui tout seul un service d’urgence et la première chose à apprendre – et comprendre – grâce à la formation porte sur son champ d’intervention en matière de secours. Sa mission commence d’ailleurs… avant l’accident et il doit être capable d’identifier un danger et de prendre les mesures d’alerte et de protection adaptées pour y soustraire les personnes risquant d’y être exposées.

Si l’accident se produit malgré cela, le SST sera capable, par un examen ordonné de la victime, d’évaluer son état et en particulier les signes traduisant une menace immédiate pour sa vie. Il saura qui alerter ou faire alerter en fonction de l’organisation des secours dans l’entreprise et quelle teneur devra avoir cette alerte.

Pour secourir la victime de manière appropriée, éviter le sur-accident, le sauveteur secouriste du travail connaîtra et maîtrisera les actions concrètes à mettre en œuvre et surveillera, jusqu’à la prise en charge de la victime par les secours spécialisés, l’évolution de son état.

Le SST, un acteur de la prévention des risques professionnels

Bien connue pour sa dimension « premiers secours en cas d’accident », la formation SST ne s’arrête pas là, loin s’en faut ! L’un de ses objectifs est aussi de faire des salariés concernés, conscients des enjeux de la prévention propres à leur entreprise, des acteurs en ce domaine.

Elle leur permettra de repérer des dangers et des risques existants, d’en informer les salariés qui pourraient y être exposés, de transmettre l’information aux personnes compétentes pour intervenir et, au-delà, de proposer des pistes d’amélioration.

La formation SST, une formation certifiante

Dispensée par un formateur SST certifié par le réseau Assurance maladie Risques professionnels / INRS, appartenant à un organisme de formation habilité par ce même réseau, la formation SST est certifiante.

À l’issue des 14 heures de formation s’appuyant sur divers outils pédagogiques (plan d’intervention, pictogrammes, etc.) ainsi que sur du matériel de simulation et d’apprentissage (défibrillateur, mannequins), le sauveteur secouriste du travail passe 2 épreuves visant à évaluer, selon une grille de certification, la bonne acquisition des compétences requises.

La première épreuve, très pratique, se déroule à partir d’une situation d’accident du travail simulée et la seconde, plus théorique, porte sur la bonne appréhension du cadre réglementaire de l’activité SST, et sur les compétences en matière de prévention.

Seuls les candidats ayant suivi la totalité de la formation et satisfait à l’ensemble des épreuves peuvent prétendre à l’obtention du certificat SST.

La validité du certificat est fixée à deux ans. Afin de garantir dans le temps leurs capacités d’intervention, l’employeur a, parmi ses obligations, celle de veiller au maintien et à l’actualisation des compétences des personnels SST.

Cela se fera par le suivi d’un « Maintien et Actualisation des Compétences » (MAC) dans les 24 mois après la dernière formation et par la réussite aux épreuves certificatives.

Si le stagiaire ne peut réaliser son MAC dans les 24 mois, il garde néanmoins les acquis de sa formation initiale. Toutefois, il ne pourra plus être comptabilisé dans les effectifs de sa société comme acteur SST, tant qu’il n’aura pas réalisé son MAC.

L’équipe d’ACIONNYS FORMATION se tient à votre disposition pour tout renseignement et vous retrouverez ici notre programmation.

La formation peut également se réaliser au sein de votre établissement.

La vie d’Acionnys – Episode 1

Que signifie 𝐀𝐜𝐢𝐨𝐧𝐧𝐲𝐬 ?
C’est une question que vous me posez souvent !

Enfin, juste après la question de ce que je peux vous apporter comme solutions à vos problèmes en formation !!

Et j’avoue, qu’à l’écoute de vos premiers retours – attention ego-metrics !! – je suis sur un petit nuage !
Aimer ce que l’on fait et le transmettre, sans écran de fumée…

Bref, revenons à nos moutons.
Oui, enfin à l’origine du mot Acionnys !

N’ayant pu fonder un partenariat avec une femme (parité de compétences !), j’ai décidé de me placer sous la tutelle protectrice de 2 déesses :

– 𝐀𝐜𝐢𝐨𝐧𝐧𝐚 : déesse gauloise des eaux dont le culte gallo-romain est attesté localement dans la région d’Orléans. La rivière Essonne, dont la partie supérieure, l’Œuf, prend sa source dans la forêt d’Orléans, tirerait son nom de cette divinité.
La terminaison en –onna est typique et commune aux divinités gallo-romaines des eaux et signifie « fleuve » en langue celtique.
Et oui, encore et toujours, le Fleuve !

– 𝐓𝐡é𝐭𝐲𝐬 : son nom signifie “nourricière”. Elle est la déesse de la mer dans la mythologie grecque et personnifie le pouvoir fécondant de l’eau.

Acionnys est donc la contraction de ces 2 déesses qui symbolisent bien la mission de votre organisme de formation !

Acionnys Formation, engageant et engagé !

“L’entreprise du bonheur” Tony Hsieh

L’auteur

Milliardaire, jeune entrepreneur, génie de la tech, gourou des affaires, manager innovant… est décédé à 46 ans en novembre 2020 des suites d’un incendie.

Sa notoriété en France est surtout liée au livre « L’entreprise du bonheur » où il raconte les débuts d’une des entreprises qu’il a financé puis dirigé, Zappo’s, qu’il a revendu en 2009 à Amazon pour 1.2 milliard de dollars et dont il quitté la direction en 2019.

Nous sommes en 1999 et Zappo’s se lance dans le e-commerce (1999 !!!!!! avant les facebook, instagram, google…) en vendant des chaussures. Bref, tous les ingrédients pour échouer, et pourtant…

Ce livre est une biographie de l’auteur, de sa 1ère entreprise (une ferme de vers de terre lorsqu’il était enfant), à Zappo’s. L’auteur nous prouve qu’on peut construire une entreprise à un milliard en focalisant sur le facteur humain.

Le livre

Au travers du livre, on découvre, ou redécouvre, la passionnante histoire de l’un des précurseurs du e-commerce. Zappos est un cas d’école particulièrement intéressant, et conserve à ce jour l’une des cultures d’entreprise les plus atypiques et les plus étudiées.

Les valeurs qui fondent, motivent, engagent un entrepreneur ou un salarié sont multiples et variées. A chacun son rapport au travail et à l’altérité. Pour Tony HSIEH, la culture d’entreprise est l’élément le plus important, sa vision d’entreprise. Au point où il quittera son premier job chez Oracle au bout quelques semaines (inadéquation entre la culture d’entreprise et ses valeurs), ainsi que sa propre entreprise, LinkExchange, qu’il avait revendu à Microsoft, avant même la fin de sa clause, tellement la culture qu’il avait mise en place n’avait pu résister au rachat.

Au travers de nombreuses anecdotes, l’auteur nous livre une multitude de conseils, de retour d’expérience, pour pouvoir appliquer ses méthodes à n’importe quelle entreprise : étonner le client (ou le prospect !) par la qualité du service, être drôle et un peu insolite, animer une équipe constructive avec un esprit de famille… Le bien-être des salariés et des clients n’est pas un objectif, mais un générateur de succès !

Quelques exemples :

  • Le plus long appel d’un salarié avec un client a duré plus de 6h ! Pas de script préconçu pour la hotline, juste faire preuve de bon sens
  • Pour les nouveaux embauchés, Tony HSIEH leur offre 4 000 dollars s’ils souhaitent quitter l’entreprise. Moins de 3% ont accepté cette offre.
  • Pour les nouveaux embauchés, 2 semaines de formation pratique à la relation téléphonique, 2 semaines en salle, 1 semaine aux méthodes d’envoi, et environ 200h à des usages spécifiques (tels que Twitter…)
  • Des séances de formation sur la « Science du Bonheur 101 », le « Leadership Tribal », ou l’« effet Wow »
  • Des séances de formation à long terme sur les valeurs de l’entreprise
  • Tous les salariés formés à l’appel téléphonique, quel que soit leur poste (derrière un écran, des chiffres… il y a un humain !)
  • Les managers ne sont pas tenus de suivre les procédures à la lettre
  • Les salariés sont encouragés à prendre des initiatives sans nécessairement consulter le management, et ceux qui sont en contact avec la clientèle à développer une relation personnalisée avec elle.

Tony Hsieh termine son livre en invitant le lecteur à réfléchir sérieusement sur la finalité ultime cachée derrière ses objectifs. Et pour reprendre une citation du livre, attribuée au Bouddha : « des milliers de bougies peuvent être allumées par une seule bougie, et la vie de cette bougie n’en sera pas raccourcie. Le bonheur ne diminue jamais quand on le partage ».

Lorsque l’on referme le livre, on peut toutefois avoir le sentiment de rester sur notre faim sur les explications de la mission de Tony Hsieh et de son entreprise Zappo’s « d’apporter du bonheur au monde », avec le peu de témoignages/analyse sur l’impact sociétal.

Malheureusement, Tony Hsieh étant décédé en novembre 2020, peut-être que certains protagonistes de premier plan de l’aventure Zappo’s nous apporteront des éclairages sur cet impact.

Même si le style est quelque fois « longuet » et très mentalité (mindset !!) américaine (sic !), ce sont 319 pages fort enrichissantes.